Réponses...
Tu sais Naima, je n’avais pas pensé à ça « essayer d’être parfaite pour que ma mère biologique m’aime ».
Tu as soulevé quelque chose je pense.
Tu ne m’a pas blessée, t’inquiètes pas…
Justement, une phrase raisonne dans ma tête.
On m’a souvent demandé si et pourquoi je ne voulais pas chercher ma mère, j’ai toujours répondu, « non, ça m’intéresse pas, plus tard… »
Et à chaque fois qu’on me demandait : « pourquoi pas maintenant ? » je répondais « non quand je serais mieux » et je pensais : quand je serai mince, quand j’aurai réussi.
Toujours ça : minceur et perfectionnisme.
Et en même temps j’ai peur de la chercher et de me poser ces questions car, la perfection revient : la peur qu’elle ne soit pas parfaite…
Pourquoi j’aimerais qu’elle soit parfaite ? Je n’en sais rien, peut-être qu’en ne l’ayant jamais vu, je l’idéalise dans mon inconscient…
Peut-être que j’espère quelque chose de blanc en pensant qu’en voyant le plus blanc possible je ne verrai pas de noir ni même de gris…
J’ai vraiment du mal à en parler, pas parce que ça me gêne mais parce que je ne sais pas.
En fait tout ça est si flou, c’est l’arrivée de ce bébé qui a tout fait ressortir, et si tard…
Je croyais ne pas me souvenir du jour où mes parents me l’avaient apprit, je disais « ils s’y sont super bien prit, justement je n’ai pas de souvenirs, pas de traumatisme », en fait j’avais refoulé tout ça et je suis en train de chercher quand j’aurai bien pu l’apprendre et je crois que comme par hasard, c’est après ça que tout a dérapé avec la bouffe. C’est pour ça que ça a commencé si tôt.
Merci pour ton message ma belle, il soulève d'autres questions.
Tu as soulevé quelque chose je pense.
Tu ne m’a pas blessée, t’inquiètes pas…
Justement, une phrase raisonne dans ma tête.
On m’a souvent demandé si et pourquoi je ne voulais pas chercher ma mère, j’ai toujours répondu, « non, ça m’intéresse pas, plus tard… »
Et à chaque fois qu’on me demandait : « pourquoi pas maintenant ? » je répondais « non quand je serais mieux » et je pensais : quand je serai mince, quand j’aurai réussi.
Toujours ça : minceur et perfectionnisme.
Et en même temps j’ai peur de la chercher et de me poser ces questions car, la perfection revient : la peur qu’elle ne soit pas parfaite…
Pourquoi j’aimerais qu’elle soit parfaite ? Je n’en sais rien, peut-être qu’en ne l’ayant jamais vu, je l’idéalise dans mon inconscient…
Peut-être que j’espère quelque chose de blanc en pensant qu’en voyant le plus blanc possible je ne verrai pas de noir ni même de gris…
J’ai vraiment du mal à en parler, pas parce que ça me gêne mais parce que je ne sais pas.
En fait tout ça est si flou, c’est l’arrivée de ce bébé qui a tout fait ressortir, et si tard…
Je croyais ne pas me souvenir du jour où mes parents me l’avaient apprit, je disais « ils s’y sont super bien prit, justement je n’ai pas de souvenirs, pas de traumatisme », en fait j’avais refoulé tout ça et je suis en train de chercher quand j’aurai bien pu l’apprendre et je crois que comme par hasard, c’est après ça que tout a dérapé avec la bouffe. C’est pour ça que ça a commencé si tôt.
Merci pour ton message ma belle, il soulève d'autres questions.