Cauchemars
Voici les images qui hantent mes nuits ces derniers temps:
Et voici ce qui soulage ces images douloureuses, ces souvenirs effrayants :
Je n'en peux plus, partez, sortez de mon esprit.
Il est si fatigué, il aimerai tant pouvoir se consacrer à autre chose.
Je commence à perdre espoir, dès qu'une porte s'ouvre, les souvenirs douloureux du passé reviennent et assènent ma tête qui me commande d'assomer mon corps.
Si seulement cette boule au ventre, cette boule de terreur pouvait partir quelques temps, s'il vous plait, seulement une nuit.
Laissez-moi dormir, une nuit, une seule nuit, je pourrai respirer sans suffoquer, une seule nuit sans que mon corps tressaute, une seule nuit sans que ma tout se bouscule.
Une nuit de paix, juste une nuit.
Quelques instants sans tremblements ni palpitations.
Les journées paraissent si longues, elles contiennent l’amertume du rêve, l’angoisse du souvenir, la terreur de la future nuit et finalement rien ne s’arrête.
Mon corps a été assez mutilé comme ça, tant par les chirurgiens que par moi.
Il n’y a plus de place sur mon bras gauche, ma main est bleue, violette… et mon poignet se meurt.
Rien ne s’arrêtera jamais ?
Le passé quel qu’il soit régnera à jamais ?
20 jours sans vomissements
( j'avoue être nostalgique)
Et voici ce qui soulage ces images douloureuses, ces souvenirs effrayants :
Je n'en peux plus, partez, sortez de mon esprit.
Il est si fatigué, il aimerai tant pouvoir se consacrer à autre chose.
Je commence à perdre espoir, dès qu'une porte s'ouvre, les souvenirs douloureux du passé reviennent et assènent ma tête qui me commande d'assomer mon corps.
Si seulement cette boule au ventre, cette boule de terreur pouvait partir quelques temps, s'il vous plait, seulement une nuit.
Laissez-moi dormir, une nuit, une seule nuit, je pourrai respirer sans suffoquer, une seule nuit sans que mon corps tressaute, une seule nuit sans que ma tout se bouscule.
Une nuit de paix, juste une nuit.
Quelques instants sans tremblements ni palpitations.
Les journées paraissent si longues, elles contiennent l’amertume du rêve, l’angoisse du souvenir, la terreur de la future nuit et finalement rien ne s’arrête.
Mon corps a été assez mutilé comme ça, tant par les chirurgiens que par moi.
Il n’y a plus de place sur mon bras gauche, ma main est bleue, violette… et mon poignet se meurt.
Rien ne s’arrêtera jamais ?
Le passé quel qu’il soit régnera à jamais ?
20 jours sans vomissements
( j'avoue être nostalgique)